C-25.1, r. 0.1 - Règlement de la Cour d’appel du Québec en matière pénale

Texte complet
28. Contenu. L’appelant qui sollicite sa mise en liberté en vertu des articles 298 ou 314 du Code de procédure pénale (chapitre C-25.1) joint à sa requête une déclaration sous serment attestant:
1°  les endroits où il a résidé durant les 3 années avant sa condamnation et celui où il entend résider s’il est mis en liberté;
2°  le cas échéant, son dernier emploi et le nom de l’employeur ainsi que ses coordonnées de même que l’emploi qu’il compte occuper s’il est mis en liberté;
3°  le cas échéant, ses condamnations antérieures, y compris les condamnations intervenues à l’étranger;
4°  le cas échéant, les accusations portées contre lui au Canada et à l’étranger, au moment de la requête;
5°  le fait qu’il est titulaire ou non d’un passeport canadien ou étranger ou qu’il a une demande de passeport en traitement;
6°  le fait qu’il possède ou pas la citoyenneté canadienne.
Dispense de déclaration sous serment. Le juge à qui est présentée la requête peut accorder une dispense de la déclaration sous serment et s’en remettre à un exposé écrit des faits signé par l’avocat de l’appelant et l’avocat de l’intimé.
Mise en liberté pendant l’appel à la Cour suprême. La requête de mise en liberté pendant l’appel à la Cour suprême du Canada prévue à l’article 314 du Code de procédure pénale est accompagnée d’un certificat du registraire de celle-ci attestant qu’une requête pour permission d’appeler ou qu’un avis d’appel a été déposé.
D. 1186-2019, a. 28.
En vig.: 2019-12-26
28. Contenu. L’appelant qui sollicite sa mise en liberté en vertu des articles 298 ou 314 du Code de procédure pénale (chapitre C-25.1) joint à sa requête une déclaration sous serment attestant:
1°  les endroits où il a résidé durant les 3 années avant sa condamnation et celui où il entend résider s’il est mis en liberté;
2°  le cas échéant, son dernier emploi et le nom de l’employeur ainsi que ses coordonnées de même que l’emploi qu’il compte occuper s’il est mis en liberté;
3°  le cas échéant, ses condamnations antérieures, y compris les condamnations intervenues à l’étranger;
4°  le cas échéant, les accusations portées contre lui au Canada et à l’étranger, au moment de la requête;
5°  le fait qu’il est titulaire ou non d’un passeport canadien ou étranger ou qu’il a une demande de passeport en traitement;
6°  le fait qu’il possède ou pas la citoyenneté canadienne.
Dispense de déclaration sous serment. Le juge à qui est présentée la requête peut accorder une dispense de la déclaration sous serment et s’en remettre à un exposé écrit des faits signé par l’avocat de l’appelant et l’avocat de l’intimé.
Mise en liberté pendant l’appel à la Cour suprême. La requête de mise en liberté pendant l’appel à la Cour suprême du Canada prévue à l’article 314 du Code de procédure pénale est accompagnée d’un certificat du registraire de celle-ci attestant qu’une requête pour permission d’appeler ou qu’un avis d’appel a été déposé.
D. 1186-2019, a. 28.